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La crise du nucléaire coûtait 45 euros aux ménages en décembre

Le Vif

Une hausse de 45 euros du prix annualisé de l’électricité a été observée pour les ménages ayant souscrit un nouveau contrat en décembre, écrit vendredi La Libre, se basant sur les calculs de la Creg, le régulateur du secteur énergétique. L’impact sur le prix de la crise d’approvisionnement en électricité s’est donc réduit.

Entre septembre et octobre 2018, le prix moyen des nouveaux contrats d’électricité avait bondi de 90 euros (prix annualisé), selon une étude de la Creg publiée alors. Étant donné que cette hausse brutale de 90 euros n’avait pas été observée dans les pays voisins, on pouvait conclure que la situation des centrales nucléaires belges en était la principale cause, selon la Libre.

La Creg a mis à jour cette étude avec les nouveaux contrats fixes et variables proposés au mois de décembre. On y apprend que le prix moyen de la composante énergie a baissé de 45 euros entre octobre et décembre 2018.

En décembre, les prix restaient donc, en moyenne, 45 euros (HTVA) plus élevés qu’en septembre, soit juste avant le début de la crise. Encore une fois, ces mouvements ne sont observés ni en Allemagne, ni aux Pays-Bas, ni en France.

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