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Un défilé aérien et sa répétition perturberont l’espace aérien ce mercredi et ce jeudi

L’arrivée de Donald Trump à Bruxelles ne devrait pas directement avoir de répercussions sur l’espace aérien belge, mercredi. Par contre, un défilé aérien jeudi et sa répétition générale la veille perturberont pendant 30 à 40 minutes le trafic des avions.

Par mesure de sécurité, l’heure d’arrivée de l’Air Force One du président américain n’a pas été dévoilée mais on s’attend à ce que Donald Trump atterrisse en Belgique mercredi en fin d’après-midi. « Son arrivée n’aura pas d’impact sur le trafic passagers car l’espace aérien ne sera pas vraiment fermé », a indiqué à Belga Alain Kniebs, porte-parole de Belgocontrol.

En revanche, des défilés d’avions militaires perturberont l’espace aérien mercredi et jeudi en fin d’après-midi. En effet, à l’occasion de la réunion spéciale des chefs d’État et de gouvernement des pays de l’Alliance jeudi, vint-sept avions de combat et de transport de huit pays alliés survoleront à très basse altitude (800 pieds, environ 250 mètres) la banlieue de la capitale. Mercredi, une répétition générale de ce défilé aura également lieu à la même heure, soit à 17h27, selon plusieurs sources concordantes.

« Ces défilés auront des répercussions sur le trafic de l’aéroport de Bruxelles-Zaventem puisque l’espace aérien sera fermé pendant une quarantaine de minutes. Il n’y aura donc pas d’atterrissage ni de décollage au-dessus de la capitale ainsi qu’au-dessus des axes Bruxelles-Saint-Trond et Bruxelles-Namur où les avions militaires se mettront en formation. Outre des retards à prévoir sur les vols au départ et à l’arrivée de Brussels Airport, des retards d’une dizaine de minutes sont également attendus à l’aéroport de Charleroi », souligne Alain Kniebs.

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